23 déc. 2014

THE adresse de la course sur LH

Vous cherchez une paire de pompes ? Un vêtement technique ? De la haute technologie embarquée pour connaitre la distance parcourue, votre rythme cardiaque ou je ne sais quoi encore ?
Vous êtes affûtés ? Débutant ? Coureur occasionnel ?


Quelque soit votre "profil", François sera là pour vous donner THE conseil, avec l'explication technique en prime. Et il aime tellement son métier et ses produits, qu'il prendra le temps qu'il faut pour vous aider.

Disponible, souriant, très pro... 

J'en fais trop là, non ? M'en moque... c'est ce que je pense !

Alors faites comme moi : équipez-vous chez Endurance Shop le Havre, et soyez au courant de toutes les actus sur sa page facebook.

7 déc. 2014

Rencontre avec...

Emmanuel Bachellier et Lydie,
créateurs de "I HAVRE A DREAM"




1. Votre entreprise en quelques mots : 

La société I HAVRE A DREAM est née d’un coup de foudre d’une famille pour la ville du Havre.
Décembre 2009, nous sommes venus de la région parisienne pour un week-end. La ville était sous la neige, sous la glace. Nous en sommes tombés amoureux !

Rassemblant un soir nos amis proches à Paris, pour leur annoncer la « bonne » nouvelle et devant l’incompréhension suscitée et l’incrédulité voire la perplexité de notre décision par certains... non en fait, par tous !... je lève mon verre en portant un toast :
« I Havre a Dream !!!!! »

Début de l’aventure...

Trois mois plus tard, nous emménagions.

C’est alors que débute notre aventure avec la création de « I HAVRE A DREAM » et d’ « Un café 100% HAVRAIS ».

A travers ces deux marques, nous avons cherché à mettre en avant l’histoire de notre ville et de notre région d’adoption.


2. Quelles sont les raisons qui motivent votre soutien ? :

« La vraie valeur n’est pas tant dans une idée que dans son exécution »

Chaque année « I HAVRE A DREAM » et « un café 100% HAVRAIS » mettent à l’honneur un HAVRAIS partageant nos valeurs.

François, garçon simple et réaliste, nous a fait rêver avec son projet.

Nous souhaitons donc vous présenter ce sportif que nous soutiendrons en 2015 pour sa participation au Marathon des Sables et qui souhaite réaliser un truc incroyable.

« Un café 100% HAVRAIS » ne pouvait que s’associer modestement à une personne pour qui le partage et l’amitié sont des moteurs permettant de vivre sa passion.


Alors les HAVRAIS, tous derrière François !



3. En quoi votre engagement peut-il servir votre communication auprès de votre équipe, de vos clients ? :

« La seule chose promise d’avance à l’échec, c’est celle que l’on ne tente pas »
Paul-Emile Victor

22 nov. 2014

Casse tête chinois...

Comment parvenir à faire rentrer dans un volume de 24 litres, tout le matériel nécessaire pour 6 jours de course ?

Petit rappel : le MDS est une course en autosuffisance alimentaire. Le candidat à l'aventure (à la galère !) doit prévoir et transporter avec lui, son équipement et sa nourriture pour toute la durée de l'épreuve. Aucune assistance n'est acceptée.

ART. 2 : DÉFINITION DE LA COMPÉTITION Le 30e SULTAN MARATHON DES SABLES est une course à pied, ouverte aux marcheurs, par étapes, en autosuffisance alimentaire et en allure libre sur une distance de 250 kilomètres environ, avec obligation pour chaque concurrent de porter son équipement (nourriture et matériel obligatoires).




Alors, de quoi ai-je besoin ? :

> 6 jours à 3 repas par jour. Le petit déj... c'est important le petit déj ! Surtout un bon café pour bien démarrer la journée... un café 100% Havrais bien sûr !
> va faire chaud, donc il me faut de quoi me changer... vais transpirer. Comptons 1 tee-shirt, 1 caleçon et 1 paire de chaussettes par jour.
> qui dit chaud et transpiration, dit besoin de se laver. Ok ! comptons un gel douche, et la serviette.
> le petit matelas auto-gonflant avec son duvet. La tente ? Ah non ! ça c'est fourni par l'organisation. On dit quoi ? On dit "Merci l'organisation !"
> ma petite trousse de toilette.
> une petite pharmacie... sait-on jamais. Y'en a qui s'irritent les pieds parait-il !
> ah ! j'oubliais... qui dit repas, dis préparation du repas : ok ! va pour le réchaud, les allumettes, les casseroles et l'assiette.
> et puis mince alors... c'est tout de même les "vacances" aussi, alors faut pas que j'oublie l'appareil photo.

Bon voilà ! je pense que j'ai à peu près tout. Je ne parle pas de l'eau... mais ça va de soi, je vais en avoir "un peu" avec moi.





Ok... Maintenant je range ça où ?
J'ai un volume de 24 litres pour tout ça. Et dire que ma belle-mère, elle a le droit à deux valises (de bonne taille) pour la même période de vacances.
Alors sur quoi je peux gagner ? Qu'est ce que je peux enlever ?

Le duvet ? Non... il est obligatoire. Le matelas auto-gonflant ? Bon ok. Vais me contenter d'un petit tapis de sol de gym d'entretien... et encore vais le couper à la bonne longueur, c'est-à-dire sous les genoux.
Les vêtements ? Ah non... vous savez (pour ceux qui me connaissent un peu) que j'adore assortir la couleur du tee-shirt à l'humeur du jour. Voir même coupler ça à la paire de lunette... et à la montre ! Oui je sais... Pfffff... ok... je cède.
Va pour 2 tee-shirts, 2 boxers, 2 paires de chaussettes et une tenue pour le soir. Mais non ! pas pour aller au restau... ni pour la soirée guitare au coin du feu. C'est juste qu'il fait frais la nuit dans le désert semble-t-il. Alors l'option combinaison de peintre semble avoir ses adeptes.
Léger, compacte, et efficace pour ce qu'on lui demande : isoler du froid. Si j'opte pour cette tenue très seyante... je vous mettrai à contribution pour la "customiser".


Bon, c'est bon ? On a assez enlevé ? Trousse de toilette ? Superflue ? C'est une blague ? Ah ben oui... suis-je bête ! y'a pas d'eau dans le désert, donc pas de douche. J'ai juste 4.5 litres d'eau qui me sont donnés à l'arrivée de l'étape pour boire, manger et... tenir jusqu'au lendemain matin où on m'en redonne 1.5 l avant de courir. Vais peut être faire le choix de ne pas me laver alors... Désolé ! Ou alors mode lingettes ou gants imprégnés de produit... ou alors quelques copeaux de savon râpé... histoire de se donner bonne conscience.

La pharma... si ça je prends, mais réduit à sa plus simple expression. A l'essentiel ! Sans oublier le papier toilette. Eh oui... non fourni par l'organisation. Ca aussi faut se le porter. C'est pas lourd... j'en conviens, mais c'est ça en plus.

Côté réchaud, des pastilles de pétrole font semble-t-il, très bien l'affaire. Les bonbonnes de gaz sont interdites (on le comprend, question explosivité j'imagine), alors le soir, il parait que c'est un peu la
chasse au trésor avec les brindilles et petits buissons autour du bivouac. Pour la gamelle, une seule pour chauffer et tu manges après dans une bouteilles d'eau du jour coupée en deux... Intelligent, comme ça tu jettes quand tu as fini.





Et la bouffe dans tout ça ? Obligation réglementaire : 14 000 kcal au départ des 6 jours, soit un minimum de 2 000 kcal par jour. Les petits bocaux de ma mère de chili con carne ou de boeuf bourguignon, ça l'aurait bien fait, mais... suis pas sûr que ça passe en terme de place ! Bon ben je suis résolu à manger lyophilisé durant ces 6 étapes.
Ca a l'avantage d'être compact, léger et bon... ah non pas ça ! enfin... pas tous. Si vous voulez, je vous invite à une soirée dégustation de plat hautement... lyophilisés ! Non ? Vous ne voulez pas ? Bande de petits joueurs !
Vais avoir droit à une semaine de haute gastronomie.

Si vous avez des conseils, des avis, des suggestions, des recommandations, l'envie de me préparer des bons petits plats et que vous avez les moyens de les déshydrater... comment ça ? vous n'avez pas ça chez vous ?... je suis preneur.

Pour l'appareil photo... Impossible de ne pas le prendre ! J'embarque. Ce serait dommage de vous priver de prises de vue et films de l'aventure tout de même.



Le défi du MDS, pour résumer, commence dès le sac, dans la faculté du candidat à organiser celui-ci et de parvenir à résoudre cette énigme :
comment faire rentrer une tranche de vie de 6 jours
dans un sac de 24 litres ?

20 oct. 2014

newsletter du MDS n°34... j'en ai la chair de poule !

Trente étoiles filantes

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"MDS. Trois lettres, comme les trois décennies passées à téléporter des dizaines de milliers de coureurs dans l’un des plus beaux désert du monde. Développez l’acronyme, et vous aurez un "MARATHON DES SABLES" déployé, une épreuve physique, certes, mais surtout une retraite hors du temps et des agitations. Une semaine et 250 km qui changent les vies. Sans doute, déjà, les participants à l’édition 2015, du 3 au 13 avril, ressentent cette douce chaleur à la simple évocation "d’en être", comme lorsqu’on est amoureux. Pour nos trente ans, nous promettons la lune, et même les étoiles.

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Nous promettons la lune et l’euphorie. Le désert est un espace étendu, dangereux pour qui s’y aventurerait sans le connaître, que nous maîtrisons parfaitement. Aujourd’hui, 28 septembre, il est 22 heures. La magie des étoiles adoucit les ardeurs du soleil durant nos longues journées de repérages. Le parcours officiel du MARATHON DES SABLES 2015 est presque prêt, ..."


Pas vous ? Bande d'insensibles !
Pour ceux qui comme moi ont des sentiments et des terminaisons nerveuses qui fonctionnent encore, voici le lien pour avoir l'article complet.

article complet "30 étoiles filantes"

Bonne lecture et bons mouchoirs.

Message perso : te voilà un peu rassurée maman ?

10 oct. 2014

I have a dream...

... Emmanuel B. va m'aider à le réaliser.

 

 To be continued !

4 oct. 2014

Rencontre avec ...

Jérôme Colin, chef d'entreprise de JCM Création,
sponsor majeur de mon MDS !



1. Votre entreprise en quelques mots :

L'entreprise JCM Création est une entreprise familiale et artisanale. Elle a été créée par Jean-Claude Colin il y a déjà presque 30 ans. Jérôme est venu le rejoindre en 2003 puis a repris le flambeau en 2005.
Elle est restée fidèle à ce qui a fait sa renommée :
- Réactivité
- Soin du travail

JCM Création emploie aujourd hui 14 salariés qui oeuvrent chaque jour dans le domaine de la maçonnerie en tout genre, de la petite intervention au gros chantier, dans tous les coins du Choletais, aussi bien pour les entreprises que pour les particuliers, avec plus de 5000 références à son actif.


2. Quelles sont les raisons qui motivent votre soutien ? :

Homme de défi dans ma vie professionnelle, cette aventure m'évoque un fort parallèle avec la vie de l'entreprise :
Mener un chantier de bout en bout nécessite réflexion, analyse, ténacité, effort.

Les métiers du bâtiment sont des métiers difficiles de par les charges à transporter, la difficulté du travail à abattre et par les conditions climatiques à supporter. Les journées sont éprouvantes, fatigantes, mais le lendemain, il faut y retourner.
Autant de points communs, me semble-t-il avec le Marathon des Sables, très bien relaté dans le film mis en ligne sur ce blog.
A l'image du MDS, un chantier se bâtit étape par étape, en toute humilité.
L'objectif étant, dans les deux cas, d'aller au bout de son entreprise et d'être satisfait du résultat.




Ancien sportif (cross, et tennis de table encore actuellement quand le temps me le permet), ce projet un peu fou va me permettre de voyager, de la vivre de l'intérieur, comme si j'y étais moi aussi, à travers les mails quotidiens qui seront envoyés en fin d'étape.

Mon métier ne me permet pas de pouvoir me lancer dans une telle aventure, c'est donc à travers ces reportages, les photos et films qui seront faits que je vais la vivre, par procuration.

Je suis de plus attaché au Maroc. A plusieurs reprises nous sommes allés, avec tous les salariés, à Marrakech. Certains de mes salariés sont aussi sportifs (coureur de semi et premier marathon en préparation) et vont suivre cette aventure avec assiduité via le blog.


3. En quoi votre engagement peut-il servir votre communication auprès de votre équipe, de vos clients ? :

Pour mes salariés, ce projet va renforcer encore un peu plus cet esprit d'équipe qui nous habite. C'est un projet fédérateur à la fois pour les valeurs qu'il véhicule et les capacités qu'il nécessite, et également car il fait échos à la pratique de certains employés.


Pour les clients, ce soutien, qui s'ajoute à d'autres réalisés auprès de clubs locaux ( Cholet-Basket , club de basket-ball de St Macaire en Mauges , club de BMX de Cholet , caebpetanquecholet , club de danse de ST Macaire en Mauges ), donne l'image d'une entreprise dynamique, innovante, toujours en évolution.
Une entreprise de challenge, de défi, qui ose se lancer dans des aventures un peu hors normes mais sans pour autant le faire de façon irréfléchie : François Lerogeron a mûrement réfléchi son projet, qui lui tient à cœur depuis longtemps. Il ne se lance pas tête baissée dans ce Marathon des Sables, il l'a préparé, et continue à le faire.

C'est aussi cela JCM Création : se lancer des défis et les réaliser sérieusement après les avoir planifiés de bout en bout.

> Vous souhaitez, vous aussi, soutenir mon projet financièrement ou matériellement et le valoriser sur le blog, contactez-moi ! 

16 sept. 2014

Les pieds... toujours les pieds !

Encore ? me direz-vous ! Ben oui... mais c'est tout de même le "nerf de la guerre" dans ce genre d'aventure.

Passage quasi obligé de fin d'étape auprès des docs du MDS

Après le "pas d'bras, pas d'chocolat", voici le
"plus d'pieds, t'as plus qu'à en chier !".

Alors en fouillant sur le net, pour les personnes qui ne visualiseraient pas le bien-fondé de mon inquiétude vis à vis de leur protection, voici quelques clichés explicatifs :


Attention âmes sensibles, s'abstenir !



Oui je sais... ça fait mal rien qu'en les regardant.


C'est tout de même à cause de ce genre de clichés que mon frère a décliné mon invitation à venir  tenter avec moi l'aventure.




Alors vous comprenez mieux maintenant pourquoi je veux les protéger, mes petits petons ?

Les guêtres, sans être la solution miracle, semblent tout de même quasiment indispensables.



Certains optent pour l'option "momification" par strap... Protection semble-t il assurée des pieds mais souci de macération (un peu comme les sacs plastiques, cf article précédent). Et quand on enlève le tout... attention risque d'arracher la peau. Ça fait rêver, hein ?

Je pense donc n'utiliser le strap que pour "soigner" une ampoule déclarée, pour la préserver des frottements.

De plus, il semble important de préparer ses pieds au préalable : une personne rencontrée lors du dernier Enduro des Sables d'Agon-Coutainville, me disait avoir participé au MDS 2011 et l'avoir fini sans une ampoule. Deux mois avant l'épreuve, elle se massait les pieds avec du jus de citron tous les matins et les graissaient le soir. Pourquoi ne pas essayer ? Ça n'engage pas à grand chose.
Je n'ai plus qu'à me faire sponsoriser par la ville de Menton... Menton... ben oui... voyons... la ville du citron !!!

Ou alors, autre solution ...


Mais suis pas sûr que mon passif de gymnaste me permette de tenir les 250 kms comme ça !!! Et puis en fait, ça ne fait que déplacer le problème.

A la prochaine pour de nouveaux partages de réflexion.

1 sept. 2014

Voilà pourquoi moi aussi je veux en être ...

Prenez un peu de temps, posez-vous et ouvrez grands les yeux. Les paysages sont magnifiques. Bon visionnage et si vous êtes comme moi... prévoyez des mouchoirs ! Ben oui je sais... suis émotif.

27 août 2014

J'ai testé pour vous ce mois ci ...

La protection des pieds contre le sable par des sacs plastiques !...
à l'occasion de  l'Enduro des Sables (http://www.endurodessables.com/), le dimanche 24 août à Agon-Coutainville (50), course de 14 kms sur le sable (humide !).



Ben oui, je sais, ça parait un peu saugrenu, mais c'est un spécialiste de la chaussure de sport sur LH, coureur de surcroît, qui m'a donné cette astuce après lui avoir parlé de mon appréhension de la composante "sable" lors du MDS.
Le but du jeu : envelopper ses pieds dans des sacs plastiques, les rendre étanche par de l'élasto...et le tour est joué. Vous voilà prêt à affronter le grain de sable mal intentionné qui a décidé de venir se loger entre vos orteils, vous irriter la peau et vous obliger à un arrêt au stand.


Mais attention, deux possibilités s'offrent à moi : le sac plastique avant ou après la chaussette ?
Qu'à cela ne tienne, deux possibilités... deux pieds... une "technique" à chaque pied ! Le corps humain est bien foutu tout de même.




Le tout dans les chaussures, les petites guêtres en plus et me voilà équipé.










Les premières sensations à froid donnent un avantage au pied droit à savoir "pied dans la chaussette recouverte du plastique". Le contact direct du plastique est assez désagréable sur la gauche. On aurait pu s'en douter...et bien je confirme !
Mais la vraie question c'est en course... que se passe-t-il en course et quelle technique parait la plus efficace en terme de protection ?

Alors au niveau des appuis, pas de différences notables, le pied ne glisse pas plus dans un cas que dans l'autre. Juste un petit désagrément sonore de plastique froissé à chaque pas (ce qui permet à mon frère de savoir ainsi où je me situe durant la course... Joke !).
 


Et maintenant... analyse post-course... parce que c'est tout de même ça qui vous tient en haleine depuis le début de cet article... Non ?
Je commence donc par le pied droit. Après avoir ôté la chaussure, je me rends compte que le plastique a explosé à son extrémité. Mes orteils ne sont absolument pas protégés. Ok...je le note.







Passons à la chaussure gauche (pour rappel pied dans plastique, chaussette par dessus) : une fois celle-ci enlevée, oh joie ! je me rends compte que là aussi le plastique est éventré.







Conclusion : expérience totalement loupée...
 1. Soit mes sacs plastiques étaient trop minces (ce qui est possible, il s'agissait de sacs de supermarché, rayon fruits et légumes), ce qui était recherché en fait, ne voulant pas sentir un pli sous la voûte plantaire, ce qui aurait occasionné d'autres désagréments.
2. Soit c'est une technique qui ne fonctionne pas tout simplement, ne supportant pas les mouvements répétés du pied dans la chaussure. Et encore, il ne s'agissait que de 14 kms.

J'avoue que même si les plastiques n'avaient pas explosés, je ne sais pas si j'aurais transposé cette expérimentation lors du MDS : le fait d'avoir les pieds qui "massèrent" toute la journée, 6 jours de suite, avec des températures très élevées, ne doit pas être forcément très conseillé.

Mis à part cette désillusion pour ce premier article "J'ai testé pour vous ce mois ci ...", la course était très agréable, bonnes conditions climatiques, léger vent dans le dos au retour (il s'agit d'un aller-retour sur la plage de Coutainville), et un chrono identique à mes années antérieures. Ah oui... j'ai y gagné également une épilation gratuite au dessus des cevilles. Que du bonheur !


Si vous avez des suggestions à me faire concernant la protection des pieds... n'hésitez pas, je testerai... promis !

Et merci à Fouzi pour l'envoi en express du teeshirt de l'asso (www.jaienviedevousdire.com).



21 août 2014

Comment devenir un membre à part entière de mon défi

Vous souhaitez devenir un partenaire privilégié de mon MDS ? un sponsor de mon aventure ?
Voici le dossier vous permettant de mieux savoir qui je suis, les retombées envisagées liées à votre investissement et ce à quoi je m'engage auprès de vous.

20 août 2014

"Les petits ruisseaux font les grandes rivières"

Ami, connaissance, famille, inconnu... vous souhaitez m'aider dans mon entreprise :
Une cagnotte en ligne a été créée à cet effet :  le pot commun de Mon Défi Sportif 2015
De tout cœur, merci.

Un blog pour vous donner envie de me suivre dans ce projet "fou" !

J'ai souhaité créer ce blog pour partager avec vous les différentes phases de ce défi sportif, qui a débuté au soir de la dernière étape de l'édition 2014.

Une nouvelle fois devant ma télévision à contempler les paysages, à pleurer avec les concurrents franchissant la ligne d'arrivée, épuisés mais tellement heureux, accueillis par Patrick Bauer et l'ensemble des coureurs, ma décision était prise : ce 30ème MDS se ferait avec moi, l'année de mes 40 ans.
Nous étions mi avril 2014.

La photo annonçant la date d'ouverture des inscriptions était devenue mon fond d'écran de portable.

Ce 1er juin, un dimanche, je me ruais sur le site. Non ouvert !
Et le lundi 2, dès 8h, je parvenais enfin à la sacro-sainte page d'inscription !

Maintenant pouvait débuter le long cheminement de la préparation, à la fois psychologique, physique et matériel, par de nombreuses recherches sur les sites et blogs de concurrents ayant déjà vécus (et survécus) au MDS. Merci à vous d'avoir pris le temps de relater votre aventure.

Car oui... il s'agit bien d'une aventure, aussi bien physique, pour supporter les conditions climatiques ainsi que l'accumulation des kilomètres, qu'humaine par le dépassement de soi, les rencontres, les échanges.

Alors je me propose de vous emmener avec moi, à travers ce blog :
> durant les quelques 220 jours qui me séparent du départ, dans l'évolution de ma préparation physique, ma quête du matériel optimal (vêtements, sac à dos, chaussures, guêtres,sac de couchage...), ainsi que la recherche d'une alimentation alliant à la fois apport journalier suffisant/poids/volume et adaptation aux conditions climatiques.
> pendant ce 30ème Sultan Marathon des Sables : à chaque fin d'étape, la possibilité est donnée à chaque concurrent d'envoyer un mail. Vous serez ainsi (un peu) avec moi et pourrez m'adresser des messages de soutien (il se peut que j'en ai besoin) au cours de l'épreuve.
> après, en partageant sur ma récupération physique et psychologique, mon ressenti sur l'épreuve, les meilleurs moments, les pires aussi... sur tout ce qui fait que le MDS est le MDS.

Je souhaite également que ce blog soit un lieu d'échange, de témoignage, alors n'hésitez pas à laisser votre commentaire.

19 août 2014

Pourquoi le MDS ?

www.marathondessables.com
Ma volonté de participer à cette course mythique est née de la diffusion au JT d'un reportage sur le MDS. J'y ai lu l'énorme détermination des participants, leur capacité à se dépasser dans des conditions physiques extrêmes et leur joie immense, malgré les douleurs endurées, au franchissement de la ligne d'arrivée.  Ce premier déclic a été suivi par la rencontre d'un homme, au Puits du Fou en 2010, porteur du tee-shirt « finisher ». Une brève mais passionnante discussion s’amorça et c’est avec des paillettes dans les yeux que je me suis fait la promesse de l'endosser à mon tour...
Il m’aura donc fallu 4 ans pour me lancer dans l’aventure, le temps nécessaire pour me confronter aux trails, de plus en plus longs.

Alors que mes premières courses étaient exclusivement sur route et distances courtes, j'ai donc progressivement évolué vers le trail. Aujourd'hui, ces courses longues en pleine nature, avec un effort réparti sur la durée, me procurent une certaine forme de sérénité, une paix intérieure, un relâchement que je ne trouvais pas en course sur route.
Ce genre d’épreuve laisse également la place à l’observation, la contemplation des paysages traversés. Les vidéos et prises de vue des différentes éditions du MDS sur le net sont à couper le souffle.

Enseignant d’EPS en collège, je souhaiterais également mettre à profit cette expérience du MDS auprès de mes élèves, en abordant les notions d’effort, de dépassement de soi, d’entraide, autant de valeurs qui sont de moins en moins porteuses de sens pour le public auprès duquel je travaille.

J’ai eu l’occasion de mettre en place une course dans un établissement français à l’étranger (Dallas International School) dont l’objectif était de recueillir des fonds pour un hôpital pour enfant (www.dallasinternationalschool.org/en/campus_life/community-service/rite-race). L’engouement suscité par cette action auprès des jeunes a été très important. La 1ère édition avait permis de récolter 15300 dollars, elle fêtera ses 11 ans en 2015 !

A mon tour, je souhaite courir pour soutenir une cause. C’est pourquoi j’ai pris contact avec l'association « J’ai envie de vous dire », créée par des enseignants d’EPS haut-normands pour venir en aide à un de leur collègue victime d’un accident. Le bénéfice de cette association a depuis été élargi aux personnes souffrant de handicap dans les pays du Maghreb par la fourniture de matériel médical (www.jaienviedevousdire.com).